Créer un reporting client qui ait du sens !

Créer un reporting client qui ait du sens !

Le community manager  en prestation (ou en entreprise) assure le suivi de chacunes des campagnes de ses clients du début à la fin. Cela implique de mesurer l’impact des actions mises en place, les performances des contenus publiés, d’en suivre l’évolution et d’en faire… Le reporting !

Le reporting client, c’est quoi ?

Après avoir recueilli le brief de votre client et fait émerger les objectifs attendus sur les plateformes social media, votre rôle est ensuite de les traduire en actions concrètes et mesurables. Une fois la stratégie mise en place et les premières actions menées, il convient ensuite de faire le point sur ce qui a été réalisé.

Le reporting client, c’est le compte rendu des actions et performances observées sur le travail qui a été réalisé. Plus que cela, c’est aussi un outil qui permet d’expliquer au client la stratégie menée sur les réseaux sociaux et, surtout, pourquoi.

 

Quand envoyer un reporting à son client ?

À quelle fréquence l’envoi d’un reporting est-elle nécessaire ?

Cela dépend de s’il s’agit d’une mission courte ou longue durée. Selon les cas, le reporting peut intervenir en fin de mission, une fois tous les deux mois, une fois par mois, voire plusieurs fois par mois ou même à la fin de chaque campagne (avec, pourquoi pas, des points à mi-parcours).

Pour vous aidez, voici deux facteurs qui vous aideront à décider de la fréquence d’envoi de votre reporting :

  • le temps d’obtention de vos résultats : selon les outils utilisés et le budget à disposition, vous aurez besoin de plus ou moins de temps pour voir émerger les premiers résultats. Dans le cas d’une campagne Ads lancée sur Facebook par exemple, il vaut mieux attendre au moins une semaine.
  • les KPI suivis : hors campagne, il est vital de suivre les performances obtenues sur les différentes plateformes. Alimenter une page Facebook sans suivre l’évolution de son nombre de likes ou de son engagement n’a AUCUNE utilité. Néanmoins, cela prend également plus de temps pour voir une réelle évolution, parfois plusieurs mois. Dans ce cas, proposer un reporting une fois par mois est suffisant pour analyse l’évolution sur l’année.

D’une manière générale, c’est à vous de décider quel sera le moment opportun pour réaliser votre reporting. Gardez simplement en tête que vous devez avoir suffisamment d’informations à disposition pour y apporter une réelle valeur.

 

Quels éléments intégrer au reporting ?

reporting client efficace

Il est maintenant temps de se lancer ! Mais par quel bout commencer ?

Commencez par faire le tri dans les informations récoltées. Voici quels étapes pour vous y retourver :

1/ Repartez des objectifs fixés avec votre client. Les questions mises en avant lors de votre première rencontre doivent à tout prix trouver des réponses dans ce reporting. Faites en sorte de ne pas passer à côté de ses demandes ! La première page de reporting doit donc être un rappel concis mais complet de ce qu’il vous a été demandé, ainsi que des objectifs définis.

2/ Faites ensuite la liste des actions menées et des outils utilisés. Intégrez des objectifs plus spécifiques pour chacune des actions et mentionnez-les également.

3/ Pour chaque objectif fixé, vous devez être capable de mettre en face 1 à 3 indicateurs de performance (ou KPI) pour mesurer les performances et suivre les progressions. Afin que ces indicateurs aient du sens pour votre client, n’hésitez pas à leur donner une courte définition ou une rapide explication de comment se procurer ces chiffres (l’onglet des statistiques, un calcul que vous avez réalisé, etc.).

4/ Pour rendre votre reporting lisible, pensez à y inclure des tableaux ou des graphiques. Cela le rendra beaucoup plus agéable (et compréhensible) à la lecture, cela vous permettra également d’avoir un historique visuel au bout d’un certain temps. N’hésitez pas à y intégrer égaleemnt des capture d’écran ou des photos des publications réalisées.

Un reporting c’est savoir analyser et… s’adapter !

Si vous voulez éviter que votre reporting ait cet effet-là sur votre client :

Il va falloir le rendre un minimum intéressant ! Cela parait logique il n’est pas rare d’avoir affaire à des reportings interminables, composés d’une quantité infinie de chiffres et de tableaux, sans traduire la moindre tendance ou établir la moindre conclusion…

Oui, c’est aussi là que votre client vous attend : bénéficier de votre expertise et connaître votre avis sur les chiffres que vous lui présentez !

Voici donc une petite check-list des do et des don’t pour votre reporting :

  • Votre reporting doit être à la fois complet ET concis . Cela signifie que chaque donnée intégrée doit répondre à un objectif mis en avant tout en gardant en tête que : 1 objectif = 2 à 3 KPI maximum !
  • Les données doivent être explicitées et analysées ! Pourquoi ce chiffre est-il bon / mauvais ? Comment est-on arrivé à ce résultat ? Quel est le prochain objectif à atteindre par la suite si l’objectif est atteint ? Quelle action mener si ce n’est pas le cas ?
  • Tâchez d’établir un plan de lecture et de vous y tenir. Par exemple, d’abord la page Facebook, puis le compte Instagram, puis la campagne d’acquisition de trafic sur le site. Cela peut aussi commencer la présentation du calendrier éditorial et des différents types de contenus, l’engagement qui en résulte sur les différents réseaux, etc.
  • Enfin, n’oubliez pas d’inclure sur les dernières pages de votre reporting ou à la fin de chaque partie (selon votre plan) les prochaines étapes. Une fois le bilan des actions effectuées, annoncez la suite ! De nouveaux objectifs ont-ils été définis ? De nouveaux outils vont-ils être lancés ? De nouveaux formats de contenus seront-ils testés ?

analyser les données dans son reporting client

 

Nos derniers conseils pour un reporting efficace

Un point important à garder en tête à tout prix : il ne faut pas avoir peur d’annoncer de « mauvais résultats » à votre client. Cela ne signifie pas forcément que vous avez fait du mauvais travail. La règle de base en community management c’est qu’il faut souvent passer par une phase de tests pour trouver la stratégie gagnante. Parfois, les résultats sont également longs à venir selon les outils utilisés. Il faut donc être capable de montrer une progression sur la durée (d’où l’intérêt de faire des reporting réguliers) ou de montrer que l’on s’adapte face à une situation qui n’évolue pas.

Un dernier conseil pour la route : prenez le temps de présenter à l’oral votre premier reporting ! Si vous souhaitez par la suite l’envoyer par e-mail pour gagner du temps, pourquoi pas ! Toutefois, il est primordial dans un premier temps de s’assurer que tout est bien compris côté client. L’envoi du reporting est souvent un moment d’échange important pour être certain d’être toujours en phase avec les objectifs établis.

 

À vous de jouer ! A quoi ressemble votre reporting ?

Chaque reporting est unique selon la mission, les objectifs, la stratégie et les plateformes utilisées. N’hésitez pas à nous partager vos conseils pour la rédaction de votre reporting ! Quel outil utilisez-vous ?Y a-t-il un plan que vous suivez ? Quelles tendances observées ?

 

Photo by Edward Howell 

Créer des visuels pour les réseaux sociaux : nos outils et conseils (2ème partie)

Créer des visuels pour les réseaux sociaux : nos outils et conseils (2ème partie)

Maintenant que vous connaissez les outils utiles pour créer des visuels pour vos réseaux sociaux, voici cinq principes de base qui leur donneront un look vraiment professionnel.

Conseils pour faire ressortir vos visuels sur les réseaux sociaux

Couleurs

Après les orages, rien de plus beau qu’un arc-en-ciel et, pour donner un peu de gaité à votre tenue, rien de tel qu’un t-shirts tie & dye, mais lorsqu’il s’agit de couleurs pour les visuels de vos réseaux sociaux… moins c’est, mieux c’est. Il est préférable de s’en tenir à une à trois couleurs primaires pour vos graphiques.

Lorsque vous choisissez vos couleurs, pensez à ce que vous voulez que les gens ressentent lorsqu’ils parcourent votre contenu. Les couleurs peuvent évoquer des émotions ; il est donc important de choisir une couleur qui corresponde à ce que vous voulez que les internautes ressentent.

Vous pouvez vous plonger dans les détails de la psychologie des couleurs ici, mais voici un bref aperçu :

  • Rouge – Excitation, énergie, puissance
  • Orange – Créativité, détermination, enthousiasme
  • Jaune – Joie, bonheur, gaieté
  • Vert – Nature, croissance, santé
  • Bleu – Confiance, stabilité, paix
  • Rose – Amour, espièglerie, vulnérabilité

Vous pourriez être tenté de ne choisir que des couleurs que vous aimez ou qui représentent les sentiments que vous voulez que votre contenu évoque. Cependant, il y a autre chose que vous devez savoir sur les couleurs.

Les opposés s’attirent. En d’autres termes, recherchez des couleurs contrastées. Les couleurs contrastées, autrement appelées couleurs complémentaires, sont des couleurs qui apparaissent dans des sections différentes du cercle chromatique.

Plus elles sont éloignées les unes des autres, plus le contraste est grand.

Les couleurs contrastées peuvent être utilisées pour diriger l’œil du visiteur vers des informations importantes, comme des mots-clés ou des icônes ; par exemple, pour les boutons d’appel à l’action (CTA).

Polices de caractères

Vous aimez peut-être les polices de caractères fantaisistes, et nous aussi, mais on préfère vous mettre en garde contre une utilisation excessive de ces polices. Mieux vaut trouver un équilibre entre lisibilité et style. L’intérêt d’inclure du texte est que votre public puisse le lire et absorber cette information. Les polices dites « scripts » (qui ressemblent à une écriture manuelle) ou les polices stylisées sont souvent plus difficiles à lire, surtout lorsqu’un utilisateur fait défiler rapidement le texte ou le lit sur l’écran, plus petit, de son téléphone.

Si vous souhaitez quelque chose de court et d’agréable, comme un titre, on vous recommande d’utiliser une police sans empattement (sans serif). Mais si vous créez un visuel plus grand, vous pouvez équilibrer les différentes polices en mettant le titre dans une police stylisée et en utilisant une police plus classique pour le corps du texte, en plus petit.

Comme pour les couleurs, moins c’est mieux, avec les polices. N’écrasez pas votre image et contentez-vous de deux ou trois polices au maximum dans chaque conception.

Hiérarchie

Lors de la conception, demandez-vous : « Quelle est la partie la plus importante de ce graphique ? » Nos yeux sont attirés par les éléments les plus grands sur une page. C’est ce qu’on appelle la hiérarchie. Vous pouvez facilement l’utiliser dans vos créations en mettant l’information la plus importante dans une police de caractères en gras ou en appliquant une couleur vive à la partie la plus importante de la conception. Vous pouvez voir dans l’exemple ci-dessous que dans cette publicité pour le réveillon du Nouvel An 2019, la police NYE (New Year’s Eve) est mise en évidence afin que l’audience sache immédiatement qu’il s’agit d’une fête de réveillon.

Espace blanc

Il est normal pour quiconque de ressentir de l’anxiété lorsqu’on est coincé∙e dans un endroit surpeuplé. La même règle s’applique au design. Les visuels surchargés sont à proscrire et les espaces « blancs » sont à privilégier. Si une image ne répond pas à vos attentes, supprimez des éléments superflus et ajoutez des espaces blancs autour du texte, des images ou d’autres éléments-clés. Vous pouvez également essayer de réduire la taille des images ou des polices pour créer plus d’espace blanc. Votre conception sera plus facile à lire et sera plus susceptible d’attirer l’attention qu’un visuel surchargé.

La règle des tiers

Si vous avez du mal à équilibrer votre image, la règle des tiers peut vous aider. La règle des tiers consiste simplement à diviser votre visuel en trois lignes et trois colonnes. L’intersection de ces lignes constitue le point central de votre design. Cela ne signifie pas que vous devez placer des éléments importants dans chacun de ces points focaux, mais cela vous permet de visualiser plus facilement la façon dont vous voulez structurer votre dessin. La règle des tiers sert de ligne directrice pour la composition de votre visuel.

Ces cinq éléments de conception peuvent vous aider à concevoir n’importe quel visuel pour votre entreprise, et pas seulement pour vos réseaux sociaux ! Mais on a voulu ajouter quelques conseils spécifiques pour les réseaux sociaux qui vous aideront à gagner du temps et à créer des graphiques plus efficaces. Parce que vous savez que chez Boots & Cats, notre but est toujours d’en faire plus en moins de temps.

Catégorisez votre contenu et créez des modèles de visuels pour chaque catégorie.

On vous conseille d’utiliser une organisation de votre contenu basé sur des catégories (et si vous venez de nous découvrir, vous pouvez en savoir plus à ce sujet ici.) Une fois que vous avez vos catégories, vous pouvez créer des modèles pour chaque catégorie. Par exemple, vous pouvez imaginer des modèles différents pour les « questions », les « citations » et les « articles de blog ». De cette façon, il est facile d’insérer le nouveau contenu dans le modèle et de garder une cohérence de visuels sans que ce soit répétitif.

Créez une fiche d’identité visuelle de votre marque

Gardez en tête ces deux petits mots dans votre conception graphique pour les réseaux sociaux : restez simple. Pour éviter toute surcharge, définissez clairement votre identité visuelle et n’intégrez que ces éléments. Voici quelques idées de ce que vous pouvez inclure dans la fiche d’identité visuelle de votre marque :

  • Couleurs de la marque – Essayez d’avoir une ou deux couleurs principales, deux ou trois couleurs complémentaires et au moins une couleur d’accent.
  • Polices de caractère – Ne dépassez pas trois polices, dont une pour vos en-têtes, une pour vos sous-titres et une pour le corps du texte.
  • Styles d’images – Par exemple, utilisez-vous des images de personnes ou de nature ? Vos images utilisent-elles un certain filtre ou un certain univers de couleurs ?
  • Iconographie – Si vous utilisez des icônes, tenez-vous-en un style d’illustration, et restez cohérent.

Ayez vos objectifs en tête

L’une de nos règles préférées, chez Boots & Cats, est de donner à chaque élément de contenu une tâche à accomplir. Cette règle s’applique au contenu visuel. Demandez-vous ce que vous voulez que vos images produisent sur les médias sociaux.

  • Sont-elles destinées à favoriser les conversions, le trafic sur le site web, l’engagement ?
  • Quel est le public visé par ces visuels ?
  • Quelles sont les plateformes que votre audience affectionne particulièrement ?
  • Quel appareil utilise-t-elle pour consulter les réseaux sociaux ?
  • Quelles émotions voulez-vous faire ressentir à votre public ?

En bref, faites d’abord vos devoirs, puis revenez à la conception. Faites-nous confiance, ça fera la différence. Et en cas de doute, utilisez l’un de ces outils pour vous aider !

À vous de jouer

Comme vous pouvez le constater, il est beaucoup plus facile de créer de superbes images pour les réseaux sociaux lorsque l’on dispose des bons outils et des bonnes informations en matière de conception ! Ce ne sont là que quelques-uns de nos conseils préférés pour créer des visuels incroyables, mais on sait qu’il en existe beaucoup d’autres.

On voudrait connaître votre avis ! Quels sont vos outils et conseils préférés ? Faites-le nous savoir dans les commentaires.

Maximiser les retombées de votre webinar

Maximiser les retombées de votre webinar

Le webinar est un excellent moyen de communiquer sur votre business, de parler à votre audience et même de promouvoir votre prochain produit ou service en live devant vos participants. Et maintenant que tout le monde s’est initié à l’art de maîtriser Zoom, Teams et autre google Meet (merci COVID), le webinar a conservé tout son potentiel ! 

Mais que faire une fois que celui-ci est terminé ?  Passer au prochain ? Mmmh pas tout de suite : vous pouvez encore en tirer profit plus que vous ne le croyez ! 

Que faire, quand et comment poncer le potentiel de votre webinar, c’est parti !

1. Il est temps de vous regarder !

De nombreux outils proposent désormais l’enregistrement des visios et de leur chat. Alors premier réflexe à avoir (une hantise pour nombre d’entre-nous) : enregistrez votre webinar pour le regarder ensuite. 

Vérifiez tout d’abord que tout a été enregistré sans soucis. Vous avez désormais une mine d’or entre les mains, dont vous pourrez vous resservir plus tard.

2. On envoie le replay aux absents

Certaines personnes qui se sont inscrites à votre webinar n’assisteront peut-être à sa diffusion live. Rassurez-vous, cela ne veut pas forcément dire que la thématique ne les intéressent pas. Mais vous connaissez : agendas différents, réunion de dernière minute, fuseaux horaires différents, arriver plus tôt au self pour espérer avoir des frites (sans rire, il y en a encore qui font ça ?!)… Bref, attendez-vous à compter des absents.

D’où l’intérêt d’avoir enregistré votre performance ! Vous pourrez envoyer  le lien du replay après la diffusion live (peut-être même accompagné des slides que vous aviez préparées pour animer votre présentation). La plupart des outils vous fournissent même le lien en avance, vous pourrez donc même programmer votre email avant le jour J.

3. Organisez un after

Comme le disait un sage organisateur de webinar : “Il n’y a pas de fête comme un after, parce que l’after ne se termine jamais.”

Ou un truc dans le genre.

Blague à part, un after est un excellent moyen de profiter de l’engoument que vous aurez construit durant le webinar. Faites durer la visio après une pause café, lancez un chat, continuez la conversation avec un #… Tout ce qui pourra continuer à susciter de la réaction (positive, nous l’espérons) sera une bonne chose pour vous !

Profitez de ce moment pour répondre aux questions complémentaires, remercier tou.tes celles et ceux qui étaient en live et mettre en avant le replay dont nous venons de parler.

4. L’email de suivi est votre ami

Bien souvent, le webinar est organisé dans un but commercial. Vous avez une offre à proposer ? Un produit à vendre ? Un message à faire passer ? Profitez de l’après webinar (quelques jours après ou la semaine suivante) pour rappeler votre audience à votre bon souvenir.

Dites-vous que les personnes qui se sont inscrites à votre webinar constituent une audience active et engagée par ce que vous faites (bah oui, elles ne se sont pas inscrites pour rien). Sachant cela, n’ayez pas peur de faire passer votre message (aprè le replay) et profitez-en peut-petre pour leur proposer un essai gratuit, une prise de RDV, un téléchargement, un tarif early bird..

5. Il est temps de partager !

Si quelqu’un n’était pas au courant de votre webinar avant qu’il ne soit trop tard pour s’inscrire, cela a probablement déclenché en lui la fameuse FOMO (Fear Of Missing Out, ou la peur de manquer quelque chose).

Plus sérieusement, l’enregistrement de votre webinar vous permettrait d’en distiler quelques passages sur les réseaux sociaux et/ou sur votre blog : captures vidéos, bande son, quotes…

Why ?

  • C’est du contenu ultra quali, déjà créé et diffusable ;
  • Cela change des formats habituels ;
  • On voit votre tête, et ça dans le social media, on adore ;
  • Cela peut donner envie à du monde se s’inscrire pour les prochaines sessions.

6. On programme le prochain ?

Pourquoi vous arrêter en si bon chemin ? Même si c’était votre premier crash test (ou pas), allez-y, programmez votre prochain webinar.

Vous n’aurez qu’à y gagner ! Mais si : par exemple, vous savez désormais à quelles questions vous devrez répondre. D’ailleurs, certains des sujets abordés pourraient-ils devenir des webinars à leur tour ? (Ne nous dites pas merci).

Alors, zou, ce n’est pas parce que votre webinar est passé que vous n’avez plus rien à faire ! 😉

Photo by Chris Montgomery ; Ilyass SEDDOUG ; Adam Solomon

Créer des visuels pour les réseaux sociaux : nos outils et conseils (1ère partie)

Créer des visuels pour les réseaux sociaux : nos outils et conseils (1ère partie)

On vit à une époque où tout le monde peut prendre une photo vite fait avec son téléphone, la retoucher avec son téléphone et la publier immédiatement vers des milliers de personnes sur les réseaux sociaux. Les simples publications textuelles ne suffisent donc clairement plus. Il faut créer des visuels pour les réseaux sociaux.

Et si vous avez besoin d’inspiration pour votre calendrier éditorial, on est là pour vous ! Il vous suffit de télécharger notre calendrier des marroniers 2022 !

Bien sûr, ça ne veut pas dire que vous pouvez poster n’importe quel vieux graphique et croire que votre post va exploser les compteurs de likes et autres commentaires. Vous avez besoin de visuels accrocheurs, adaptés à votre marque et qui attirent l’oeil. Ce n’est pas un problème pour les grandes entreprises qui disposent d’énormes départements artistiques ou même pour celles qui n’ont qu’un∙e seul∙e graphiste.

Mais que doit faire le ou la solopreneur∙e très occupé∙e qui fait déjà tout le reste dans son activité ? Tout simplement, apprendre quelques astuces de conception simples mais puissantes et utiliser les bons outils pour créer des visuels pour les réseaux sociaux qui vont envoyer du lourd.

Comment créer des visuels qui impressionnent pour les réseaux sociaux ?

Avec les bons outils, on fait des choses fantastiques sans suer sang et eau. Voici nos outils préférés chez Boots & Cats.

 Canva

Canva est un outil de conception graphique idéal et qui convient parfaitement aux non-designers. Avec un format de type glisser-déposer, il propose des centaines de modèles de visuels, de polices de caractères et d’images. L’une de nos fonctionnalités préférées de Canva est que vous pouvez redimensionner n’importe quelle image d’un simple clic, ce qui facilite la déclinaison d’un même visuel pour chaque plateforme.

Prix : Gratuit et des plans payants à partir de 11,99€/mois.

Giphy

 

Qu’est-ce qu’un peu de divertissement sur les réseaux sociaux sans quelques GIFs ? Giphy dispose de la plus grande bibliothèque de GIFs que vous pouvez utiliser pour vos blogs, e-mails et comptes sociaux. Vous pouvez même créer votre propre chaîne et créer vos propres GIFs personnalisés !

Prix : Gratuit

Unsplash

Unsplash est un catalogue de photos gratuites. Des photographes, des artistes et des créateurs ajoutent à cette bibliothèque croissante de photos de stock gratuites. C’est un site idéal si vous avez besoin de trouver des images à utiliser sur Facebook, Instagram, Twitter ou votre site.

C’est super important de ne pas publier d’images sans autorisation, car vous pourriez vous retrouver avec au pire un procès, au mieux une amende massive. Unsplash est un moyen idéal d’éviter cela, car toutes leurs images sont du domaine public.

Bien que ce ne soit pas obligatoire, essayez de créditer les photographes lorsque vous partagez leurs images ! Unsplash vous permet de copier-coller le crédit lorsque vous téléchargez votre image.

Prix : Gratuit

 Adobe Color Wheel

Si vous créez vos propres images ou jouez avec les couleurs, utilisez le fantastique outil de palette de couleurs d’Adobe pour trouver les associations de couleurs parfaites pour votre projet. Vous pouvez également télécharger une photo pour identifier les combinaisons de couleurs qu’elle contient. Si vous êtes un utilisateur d’Adobe, vous pouvez vous connecter avec vos informations d’identification et enregistrer vos palettes de couleurs pour les utiliser dans de futurs projets.

Prix : Gratuit

Utilisez des images sous licence Creative Commons

Vous n’avez pas trouvé ce que vous cherchiez dans l’une des ressources ci-dessus ? Pas d’inquiétude : vous pouvez poursuivre votre recherche en recherchant des images sous licence Creative Commons.

Une licence Creative Commons est essentiellement une autorisation du propriétaire de l’image de l’utiliser gratuitement. Sympa, non ? Il existe différentes versions de la licence Creative Commons ; vous pouvez tout lire à leur sujet ici.

On vous suggère de rechercher des images pour lesquelles il suffit d’attribuer l’image au(x) propriétaire(s) d’une manière ou d’une autre et qui sont libres d’utilisation à des fins commerciales.

Voici comment trouver des images sous licence Creative Commons :

  1. Rendez-vous sur search.creativecommons.org.
  2. Insérez un mot clé pour le type d’image que vous recherchez.
  3. Assurez-vous de cocher la case « utilisation à des fins commerciales » ; on vous conseille aussi de cocher également l’autre case, « modifier, adapter ou développer », au cas où vous souhaiteriez ajouter votre logo, du texte ou tout autre élément à l’image.
  4. Choisissez l’endroit où vous souhaitez effectuer votre recherche (comme Flickr ou Google Images). Une fois que vous aurez cliqué sur l’une de ces options, vous serez automatiquement dirigé vers les résultats.
  5. Sélectionnez une image qui vous plaît, puis vérifiez attentivement les informations relatives au droit d’auteur, à la licence Creative Commons et/ou à l’attribution. Si vous ne pouvez pas satisfaire aux exigences du propriétaire, n’utilisez pas l’image. Si vous n’êtes pas sûr de répondre aux exigences, envoyez-leur un email pour leur demander.

NOTE IMPORTANTE : Ne confondez PAS le blog de votre entreprise avec un blog non commercial.

De nombreuses personnes pensent que, parce qu’elles ne gagnent pas directement d’argent avec leur blog, elles sont libres de le remplir d’images dont les licences restreignent l’utilisation à des fins « non commerciales ». Il s’agit d’une zone extrêmement floue, mais si votre blog contient un lien vers votre page de vente ou vers un autre site contenant votre page de vente (ou tout ce qui encourage les gens à vous donner de l’argent d’une manière ou d’une autre – oui, cela inclut les liens type « Travaillez avec moi »), à nos yeux, votre blog est commercial.

Ne prenez pas le risque de vous voir infliger une amende simplement parce que les gens peuvent lire votre blog gratuitement ; il s’agit toujours d’un élément de votre marketing.

Dans le cas d’une licence qui exige que vous attribuiez la source, vérifiez si le propriétaire donne des instructions spécifiques sur la manière de procéder à cette attribution.

D’ici quelques semaines, on vous donne tous nos conseils pour concevoir des images qui dépotent et qui attirent l’oeil immédiatement ! Ouvrez l’oeil !

Comment utiliser les réseaux sociaux pour valider votre idée de e-business

Comment utiliser les réseaux sociaux pour valider votre idée de e-business

Vous avez une excellente idée pour un produit numérique. Si vous pouviez le développer et le commercialiser de la bonne manière, vous savez qu’il pourrait changer beaucoup de vies (et surtout la vôtre).

Cependant, vous n’avez pas des milliers d’euros ou des mois de temps libre à consacrer à une étude de marché. Alors comment valider votre idée de produit sans vous ruiner ?

Facile : utilisez les réseaux sociaux.

En seulement quatre étapes, vous pouvez valider votre idée de produit, l’adapter aux préférences de vos client∙es et vous mettre sur la voie de la création d’un produit, n’ayons pas peur des mots,… irrésistible !

Étape n° 1 : réaliser une étude de marché sur les réseaux sociaux

Avant de créer votre produit ou service digital, réalisez une étude de marché pour en savoir plus sur votre public cible et ses préférences.

L’une des façons les plus simples de réaliser une étude de marché est de trouver où votre clientèle idéale est active en ligne et d’interagir avec elle.

Notez qu’on ne vous dit pas d’aller sur toutes les plateformes à la mode.

Allez plutôt là où votre public est le plus actif et participez à des conversations avec ces communautés.

Si vous envisagez de vendre des cours en ligne sur le maquillage et la beauté, par exemple, vous trouverez probablement plus d’opportunités de conversations sur Instagram, YouTube et Reddit, tandis que Twitch peut être mieux si vous vendez quelque chose lié aux jeux vidéos.

Une fois que vous avez déterminé où vous allez mener votre étude de marché, l’étape suivante consiste à réfléchir à comment vous allez collecter les informations ; une combinaison de collecte de données et d’entretiens avec votre cible potentielle donne généralement les meilleurs résultats.

Par exemple, vous pouvez rejoindre des communautés en ligne sur Reddit ou Facebook pour voir quel type de questions votre public se pose, proposer des réponses et poser quelques questions à votre tour.

Ou, comme Sue B. Zimmerman, spécialiste d’Instagram, vous pourriez utiliser des sondages dans les stories pour interroger vos clients.

Parmi les autres sources possibles, n’oubliez pas les commentaires des clients sur vos concurrents. Ils peuvent être une mine d’informations sur les préférences de votre cible et sur la manière dont vos concurrents répondent à ces préférences.

Vous pouvez également utiliser l’historique des publications des personnes qui ont laissé un commentaire pour comprendre le type de marques avec lesquelles elles ont interagi dans le passé et comment votre idée de produit se mesure à leurs préférences.

La marque de produits de beauté Glossier, par exemple, a eu l’idée de son Milky Jelly Cleanser après avoir remarqué que les internautes n’incluaient pas de nettoyant dans leurs « shelfies » (photos de produits de beauté dans les placards de leur salle de bains).

Enfin, ne négligez pas l’étape d’une conversation avec vos futur∙es client∙es en face à face, même en visio, afin d’obtenir des commentaires plus ciblés.

Une fois que vous avez défini vos plateformes et que votre étude de marché est en cours, il est temps d’entrer dans le vif du sujet et de passer du statut d’observateur à celui de participant actif.

Étape 2 : Soyez actif∙ves sur les réseaux sociaux et renforcez la confiance dans votre marque.

Pour gagner la confiance et la fidélité de vos futurs fans et, au bout du compte, leurs achats et leurs recommandations, soyez actif sur les réseaux sociaux.

72 % des consommateurs sont susceptibles de recommander une entreprise s’ils ont eu une expérience positive avec cette marque sur les réseaux sociaux, il y a donc peu d’inconvénients à engager avec votre public.

Attentions à ne pas être trop promotionnel. Vous pouvez suivre la règle des 80/20 : 80 % de vos messages doivent être informatifs ou divertissants et 20 % peuvent être plus vendeurs.

Pour aller plus loin sur comment composer ces posts, consultez cet article sur les messages dignes d’être cliqués, pour vous inspirer.

Sinon, prêtez attention aux messages qui obtiennent le plus d’engagement, de partages et de commentaires, car ils constituent un bon indicateur du type de problèmes auxquels votre public est confronté.

Bien qu’il faille attendre quelques semaines avant de constater une réelle augmentation des visites sur votre site et du nombre d’abonnés, l’interaction avec ces derniers peut s’avérer payante.

Ne vous inquiétez pas si votre nombre d’abonnés reste plutôt modeste : les petites audiences ont leur importance, surtout pour les marques en pleine croissance.

Après avoir passé du temps à construire votre réputation, vous pouvez commencer à poser des questions liées plus spécifiquement à vos produits et à envoyer des enquêtes.

L’entreprise de matelas Tuft & Needle, par exemple, considère que c’est en sollicitant les avis des communautés en ligne, en particulier Reddit, qu’elle a gagné ses premiers clients.

Mais ne vous concentrez pas uniquement sur des questions relatives aux produits : ce n’est pas toujours un produit exceptionnel qui incite les clients à passer d’une marque à une autre.

86 % des consommateurs sont prêts à payer davantage pour une expérience-client de qualité. Bien traiter vos clients, et, plus précisément, découvrir ce que cela signifie pour eux, peut vous aider à vous démarquer de vos concurrents.

À ce stade de la validation de l’idée, vous pouvez promouvoir une page de vente pour votre produit même si celui-ci n’a pas encore été fabriqué, afin que les internautes puissent en savoir plus sur votre offre, s’inscrire sur votre liste d’attente ou pré-commander.

Il peut sembler contre-intuitif de créer une page de vente pour un produit qui n’est pas encore fabriqué, mais rassurez-vous, c’est un moyen courant de valider des idées de produits.

Dropbox, par exemple, a commencé par une vidéo explicative et un formulaire d’inscription à une liste d’attente. De même, l’entrepreneuse Abbey Ashley a créé une page de vente, a pré-vendu son cours en ligne, puis a publié deux modules à la fois au fur et à mesure qu’elle recevait des commentaires de ses clients.

En plus de votre page de vente, vous pouvez utiliser des tactiques comme l’email marketing et le marketing d’influence pour étendre la portée de vos efforts de pré-lancement.

La construction de la réputation et de la crédibilité de votre marque sur les réseaux sociaux prend-elle du temps ? Certainement. Mais, cela vaut-il la peine de s’y atteler ? Certainement aussi. Il n’y a pas de meilleur moyen de créer des liens avec une nouvelle audience que d’interagir directement avec elle.

Et plus vous interagissez avec elle et en apprenez sur elle à ce stade, mieux votre prototype, qui est la troisième étape de la validation de votre idée, servira ce public.

Étape 3 : Analysez vos données et créez votre prototype

14% des startups échouent parce qu’elles ignorent leurs clients, et 42% échouent parce qu’il n’y a pas de besoin pour leur produit sur leur marché.

Par conséquent, ne vous contentez pas de jeter un coup d’œil à vos données clients pour ensuite vous plonger dans le développement du produit. Prenez plutôt quelques jours pour analyser les tendances et effectuer un suivi auprès de certains membres du public.

Ensuite, commencez à créer avec ces informations en main.

Ne vous souciez pas de créer un prototype parfait. Dans l’idéal, votre prototype devrait être une version simplifiée de votre produit que vous pouvez réaliser sans investir beaucoup d’argent ou de temps.

Plus vous pouvez facilement pivoter pour ajouter ou supprimer des fonctionnalités – votre public saura lesquelles – mieux c’est.

Les prototypes de produits numériques peuvent prendre des formes différentes.

Le prototype de Justin Jackson pour son service et podcast Tiny Marketing Wins a commencé par une série de 14 jours d’e-mails gratuits, tandis qu’Airbnb a commencé par un simple site Web.

Vous pouvez soit donner votre produit en test gratuitement comme lead magnet (littérallement : aimant à prospects) soit offrir du contenu gratuit, soit, pourquoi pas, le faire payer.

Dans le cas d’un produit informatif, vous pouvez diffuser quelques modules sur YouTube. C’est un support particulièrement utile pour tester le contenu de cours en ligne ou de business models d’abonnement. 64 % des personnes interrogées ont déclaré que YouTube était une bonne ressource quand il s’agit d’acquérir des compétences pour son développement professionnel ou personnel.

À ce stade, vous avez presque atteint la fin du processus de validation de votre produit, mais pas tout à fait. Une semaine environ après que vos premiers utilisateurs et utilisatrices ont téléchargé ou acheté votre produit, recueillez d’autres commentaires afin de pouvoir l’améliorer encore avant de diffuser la version finale.

Étape 4 : Analysez les commentaires recueillis et diffusez votre produit à nouveau.

Le but d’un prototype de produit est de tester vos hypothèses et vos croyances sur votre public, alors ne vous inquiétez pas si vous avez reçu des commentaires négatifs lors de la première itération.

Voyez simplement ces commentaires comme des conseils sur la façon de créer un meilleur produit à l’avenir.

Prenez quelques jours pour analyser les critiques de la première itération de votre prototype, puis réfléchissez aux changements recommandés ou à ceux qui étaient les plus demandés.

Une fois que votre produit test a été modifié, vous êtes prêt∙e à le rediffuser pour obtenir un nouveau round de commentaires.

Pour élargir votre base d’utilisateurs et augmenter vos ventes, pensez à mettre en place un programme de recommandation ou d’affiliation afin d’encourager vos premier∙es client∙es à recommander votre produit à d’autres personnes.

30 % des Américains font des recommandations au moins une fois par semaine, et près de la moitié des entrepreneurs affirment que la majorité de leurs nouveaux clients proviennent de recommandations. Il y a fort à parier que la tendance est très similaire en France.

Par conséquent, inciter et récompenser les clients qui vous recommandent est une stratégie viable et populaire dans la sphère entrepreneuriale.

Une manière d’encourager les recommandations est de proposer une remise ou une promotion exclusive.

94 % des consommateurs ont déclaré que parmi le offres promotionnelles, l’exclusivité est ce qu’ils préfèreraient. Proposer des offres ou des remises exclusives pourrait donc être un moyen d’attirer davantage de clients early-adopters et de testeurs de prototypes.

Au fur et à mesure que votre public s’élargit et que vous obtenez de nouveaux retours, vous vous rapprocherez de plus en plus d’un produit final que vos clients adoreront.

Et après ? Il sera alors temps de lancer votre produit et de voir les ventes affluer.

C’est simple comme bonjour, non ?

Comprendre votre marché et votre communauté sont essentiels pour valider votre idée.

Vous pouvez dépenser des milliers de dollars pour mener des études de marché complexes sur vos client∙es potentiel∙les ou vous pouvez utiliser les réseaux sociaux pour valider votre idée d’e-business en quelques semaines seulement.

La première étape de la validation de votre idée consiste à déterminer où vous interagirez avec votre public cible et comment vous le sonderez.

Ensuite, passez quelques semaines à établir des relations avec vos abonnés avant de leur demander des conseils et des commentaires.

Une fois que vous en savez plus sur les préférences de vos futur client∙es, créez une version prototype de votre produit pour tester vos hypothèses et vos conclusions.

Enfin, sollicitez davantage de commentaires de vos client∙es afin d’améliorer progressivement votre produit jusqu’à ce qu’il atteigne une version que vous estimez vendable.

Il n’a jamais été aussi facile de donner vie à vos idées de produits digitaux grâce aux réseaux sociaux.

Que votre public préfère Instagram, Twitter ou Facebook, vous disposez désormais des connaissances et des outils pour valider votre idée de produit ; et nous sommes impatientes de voir ce que vous allez créer.

Créer un podcast pour son entreprise sans se casser la tête

Créer un podcast pour son entreprise sans se casser la tête

Les podcasts sont à la mode en ce moment et on ne dist pas ça seulement parce qu’on en écoute tout le temps 😉 .

Selon PodCast Insights, il y a 30 millions d’épisodes de podcast et 51 % des américains ont écouté au moins un podcast ! Donc, ces clients que vous voulez atteindre ? Il y a fort à parier qu’ils écoutent probablement un podcast.

Et non seulement les gens écoutent des podcasts, mais ils se sentent engagés. Selon cette même étude de PodCast Insights, 80 % des auditeurs de podcasts écoutent la totalité ou une partie de chaque épisode ; et ils écoutent en moyenne sept épisodes de podcast par semaine !

Après avoir lu tout ça, vous vous dites peut-être : « Je devrais peut-être lancer un podcast moi aussi ! » 🤔

Vous vous demandez peut-être aussi : « Par où commencer ? » 😱.

Et certain∙es d’entre vous pourraient même être en train de se dire : « C’est quoi un podcast ? » 😳.

La bonne nouvelle, c’est que vous êtes au bon endroit, car vous n’êtes pas les premières personnes à nous poser la question !

On s’est posées et on s’est demandées : « Comment une petite équipe peut-elle produire un podcast vraiment fantastique sans y consacrer tout son temps ? ».

Et voici les étapes exactes qu’on a identifiées !

Le format

Si vous souhaitez lancer un podcast dans le cadre de votre activité, la première chose que vous devez déterminer est le format.

Il existe plusieurs formats de podcast différents. Voici les principaux que vous pouvez envisager pour votre podcast.

Format interview

Ce format est celui auquel pensent de nombreux auditeurs lorsqu’ils pensent aux podcasts. Les émissions de type interview présentent un ou deux hôtes réguliers et un nouvel invité à chaque épisode. Marketing Mania de Stanislas Leloup en est un excellent exemple.

Si vous souhaitez lancer un podcast au format « interview », vous devez vous assurer d’avoir un thème clair, soit par vos invités, soit par le message que vous essayez de faire passer à vos invités. Dans l’exemple ci-dessus, Stanislas Leloup interroge des entrepreneurs du web. Alors que les invités d’autres podcasts proviennent de différents secteurs d’activité, mais un thème commun lie l’ensemble.

L’avantage d’organiser un podcast au format interview est que votre public entendra des points de vue différents et obtiendra un aperçu 360° de votre sujet. Les inconvénients de ce format sont que la recherche d’invités, la programmation de différentes interviews et la présentation du podcast aux invités potentiels demandent du temps et de l’énergie supplémentaires !

Format conversationnel

Les podcasts conversationnels ont plusieurs hôtes qui discutent d’un sujet spécifique dans chaque épisode. Call Your Girlfriend, animé par Ann Friedman et Aminatou Sow, est un podcast conversationnel américain populaire dans lequel deux amies s’appellent pour discuter des événements récents de culture pop et de politique.

L’avantage d’un podcast conversationnel est qu’il est généralement moins structuré, ce qui signifie qu’il nécessite moins de planification. Cependant, vous devrez veiller à ce que vos sujets restent toujours intéressants pour que votre public reste engagé !

Format solo

Dans un podcast solo, un hôte partage un sujet. L’hôte peut faire appel à des invités de temps en temps, mais le format principal est celui d’un monologue du podcasteur sur un sujet. Le podcast Home(icide) de Caroline Nogueras est un excellent exemple de solo-cast.

L’un des principaux avantages d’une diffusion en solo est que vous n’avez pas à planifier les enregistrements en fonction de quelqu’un d’autre. C’est donc beaucoup plus facile si vous souhaitez simplement enregistrer un ou deux mois d’épisodes à la fois ! L’inconvénient d’un podcast solo est que vous serez responsable de l’ensemble du contenu, car il n’y a pas de co-animateur ou d’invité sur lequel s’appuyer !

Chacun de ces podcasts présente des avantages et des inconvénients et le format qui vous convient le mieux dépend de votre activité et de vos objectifs.

Une chose importante à noter lorsque vous envisagez l’un de ces formats, c’est que vous pouvez les scénariser si c’est plus facile pour vous ! Tout le monde n’est pas à l’aise pour parler à bâtons rompus et vous n’avez certainement pas besoin de l’être ! La création d’un script pour vous, ou pour vous et votre co-animateur, ou encore l’élaboration d’un script pour vos questions aux invités, peut être un moyen facile d’organiser votre contenu.

Choisissez le format qui vous convient le mieux ! C’est votre podcast, profitez-en ! Une fois que vous avez choisi votre format, on vous recommande de préparer vos premiers épisodes. En effet, une pratique courante consiste à lancer le podcast avec au moins trois épisodes.

Les outils

Les outils nécessaires à la réalisation d’un podcast sont étonnamment simples.

Pour l’enregistrement, on recommande Garageband, qui est livré en standard sur les Mac. Si vous êtes plutôt PC, vous pouvez également utiliser Audacity. Vous pouvez également utiliser l’un ou l’autre pour éditer votre podcast après l’avoir enregistré. Et si vous recherchez un logiciel de montage un peu plus sophistiqué, on vous recommande Adobe Audition.

Ça prendra peut-être un peu de temps pour vous familiariser avec le micro et à entendre votre voix enregistrée. Mais n’oubliez pas que plus vous vous exercez, plus vous vous sentez à l’aise !

Il existe des dizaines de logiciels pour aider les podcasters à produire leur émission, et des centaines de microphones et de gadgets. Restez simple lorsque vous commencez. S’aventurer à la recherche d’outils peut vous empêcher de commencer.

Et oui, vous serez peut-être tenté∙e de faire du karaoké avec votre micro. Allez-y, on ne jugera pas.

Les autres éléments

Une fois que vous avez les outils en place, il vous reste encore quelques éléments à rassembler avant de commencer à enregistrer et à promouvoir votre podcast.

Le premier élément est le titre, le sous-titre et la description de votre podcast. Faites une recherche rapide pour vous assurer que votre titre n’est pas déjà pris. Lorsque vous créez votre titre, veillez à choisir quelque chose de facile à dire, à épeler et permettant de comprendre rapidement à qui votre podcast s’adresse.

Le Dr Kevin Christie aurait pu intituler son podcast sur le marketing pour chiroprateur∙es d’un nom astucieux comme « Marketing Adjustment » ou « Misaligned Marketing« , mais il a choisi The Modern Chiropractic Marketing Show, qui définit clairement le sujet et s’adresse directement à son public cible.

Une fois tout ça en place, il vous reste à enregistrer votre intro. C’est ce que les gens entendent dans la première ou les deux premières minutes de votre podcast. Vous n’êtes pas obligé∙e d’y inclure l’intégralité du titre, du sous-titre et de la description, mais il est important d’y inclure le nom du podcast, le nom de l’animateur et un petit mot sur l’émission. Vous pouvez également ajouter de la musique à votre intro. Vous pouvez trouver de la musique libre de droits dans Free Music Archive par exemple.

Il est ensuite, de préparer vos visuels. Il s’agit de l’image de couverture de votre podcast qui s’affichera dans les annuaires, ce qui en fait l’une des premières impressions que vous ferez à votre public !

Elle s’affiche également dans le lecteur de vos auditeurs lorsqu’ils écoutent votre podcast. Vous devez donc faire en sorte que votre visuel renforce votre marque.

Et vous n’avez pas besoin d’être un grand designer pour y parvenir ! Vous pouvez utiliser Canva ou Crello pour créer facilement de superbes graphiques. Assurez-vous simplement qu’ils correspondent aux spécifications d’Apple. Depuis 2019, Apple exige que les images ne soient pas plus grandes que 3 000 x 3 000 pixels et pas plus petites que 1 400 x 1 400 pixels.

On vous recommande de rendre le titre de votre podcast très lisible.

Uploader votre podcast

Une fois que tout est en place et que vous avez enregistré vos premiers épisodes, il est temps d’uploader votre podcast !

En général, vous allez enregistrer vos épisodes sous forme de fichiers MP3.

Vous ne pouvez pas simplement télécharger vos MP3 sur iTunes. Vous avez besoin d’un endroit pour héberger vos fichiers. Un hôte de podcast est une société optimisée pour héberger et servir vos fichiers de podcast. Il vous fournira également un flux RSS unique qui permettra à iTunes, Spotify, Stitcher et d’autres répertoires de podcasts de voir et de partager votre émission ! Ce n’est pas différent d’un flux RSS pour votre blog.

Il existe de nombreux hôtes de podcasts, dont les fonctionnalités et les prix varient. Les favoris du secteur sont Libsyn, Blubrry et Podbean, mais on aime bien Anchor aussi !

Après avoir téléchargé quelques épisodes sur votre flux, vous pouvez ensuite les soumettre à iTunes et à d’autres annuaires de podcasts. L’approbation peut prendre quelques jours, mais la plupart des émissions sont approuvées dans les 7 jours.

Promouvoir, promouvoir, promouvoir !

Et c’est tout ! Facile, non ? Vous avez maintenant créé un podcast, l’avez enregistré et l’avez téléchargé sur votre flux de podcasts afin qu’il soit prêt à être lancé.

Maintenant, reste à promouvoir votre podcast ! On vous a déjà expliqué comment préparer le lancement d’un podcast, on vous prépare aussi quelques conseils sur la communication d’un podcast sur les réseaux sociaux ainsi que quelques idées pour développer votre podcast.

On vous recommande également de créer une page sur votre site Web. Même si vous n’hébergez pas votre podcast (Libsyn ou un autre le fait pour vous !), il est conseillé tout de même d’avoir une page dédiée sur votre site à des fins de référencement et pour mieux promouvoir votre podcast. Vous pouvez intégrer des fichiers audio sur cette page, ajouter des notes et des descriptions de l’émission ou même proposer une option d’inscription par e-mail pour développer votre liste d’abonnés.

Le podcasting est loin d’être en voie de disparition. En fait, sa tendance est à la croissance massive au cours des prochaines années. C’est donc le bon moment de vous demander si c’est la bonne voie pour votre entreprise.

Comme pour tout, parlez d’abord à vos clients. Si vous constatez qu’ils aiment les podcasts, c’est peut-être le canal marketing idéal pour vous !

Vous aimez les podcasts ou vous avez lancé le vôtre ? Faites-nous part de vos questions et remarques dans les commentaires !

Help ! Comment bien relire mes contenus ?

Help ! Comment bien relire mes contenus ?

Du contenu, vous en écrivez à la pelle ! Chaque mois, peut-être chaque semaine, et probablement pour la plupart de vos clients.

Que ce soit pour les wording de vos posts sur les réseaux sociaux, pour du visuel ou pour des articles de blog, la petite coquille qui traîne n’est jamais bien loin… Notre conseil : vous relire, et plutôt deux fois qu’une !

Voici 10 tips pour partir à la chasse aux fautes de frappe et autres erreurs d’accord.

1/ Opter pour un environnement calme

Avant de se lancer dans une session de relecture, installez-vous dans un environnement calme et silencieux, propice à la relecture. Et personne mieux que vous ne pourra trouver le lieu idéal pour cela ! Le tout étant de vous mettre dans de bonnes prédispositions pour ne laisser passer aucune coquille…

2/ Prendre son temps

Lorsque vous lisez « normalement », vos yeux parcourent le texte de manière fluide et rapide. Et à force de relire un texte que vous connaissez, vous ne le lisez même plus vraiment… Alors on ralentit le rythme et on lit les phrases un… mot… à… la… fois. Cette technique vous obligera à physiquement arrêter vos yeux sur ce que vous regardez.

3/ Changer de style

Et si vous changiez tout simplement d’angle de vue ? Pour éviter de lire un texte auquel vos yeux se sont habitués, l’un de nos tips est de changer la police de caractère (cela vaut aussi pour la taille de la typo et sa couleur). Votre cerveau apréhendera le contenu d’une toute nouvelle façon. Vous aurez plus de chance de repérer les erreurs en changeant ce que vos yeux ont eu l’habitude de voir.

pourquoi la relecture des contenus est importante

4/ Faire des checks réguliers

Plutôt que de vous faricir la relecture – d’une traite – d’un texte que vous ne pouvez déjà plus voir en peinture (on est d’accord que votre relecture ne sera pas franchement effiace), optez pour les étapes intermédiaires.

Au moment de la rédaction, vous venez de boucler une longue phrase ou un pragraphe ? Faites l’effort de le relire. La grosse relecture finale ne sera qu’un check global pour vérifier que tout soit ok.

5/ Relire à voix haute

A bannir si vous travaillez en open space, vraiment. En revanche, si vous êtes plutôt auditif.ve, le fait de relire votre texte à voix haute ou en ‘asmr’ vous aidera peut-être à repérer des fautes ou à mettre le doigt sur de mauvaises tournures de phrase…

6/ Remettre le nez dedans plus tard..

Si le timing vous le permet, mettez votre contenu de côté et revenez-y plus tard. Cela vous donnera une meilleure capacité à repérer les éventuelles coquilles. Vous pouvez laisser reposer une nuit ou simplement prendre l’air 5min, aller chercher un café ou un thé, etc.

Changer votre rythme de cette manière vous permettra de garder l’esprit frais et clair : les erreurs et fautes d’orthographe vous sauteront plus facilement aux yeux !

7/ Missionez une tierce personne

Si l’enjeu est de taille, misez sur l’appel à un.e ami.e ! Tout comme vous avez peut-être fait relire votre mémoire de fin d’étude à l’époque, faites relire votre contenu par un oeil neuf. Non seulement, la tierce personne relèvera peut-être des coquilles, mais elle pourra aussi vous donner un avis sur la clarté du texte et sa compréhension.

bien rédiger ses contenus

8/ Ne pas oublier la ponctuation

On sous-estime souvent l’importance de la ponctuation pour la bonne compréhension d’un texte, et pourtant elle fait la moitié du job ! On n’oublie donc pas de vérifier si les points et les virgules sont à leur place.

9/ Soigner la mise en forme

Honnêtement, qui lit les pavés ? La lecture fluide et agréable d’un texte passe aussi par l’aération de ce dernier… Et vous permettra aussi de repérer plus facilement les coquilles !

10/ Non la relecture n’est pas une perte de temps…

Voyez ce temps consacré à la relecture comme un gage de qualité du service que vous offrez à vos clients. Pourquoi ? De deux choses l’une : trop nombreuses sont les personnes à négliger l’orthographe et la grammaire. De deux : la rédaction constitue le coeur de votre métier, il en va de votre crédibilité.

 

Alors, si on valorisait la relecture ?

 

Photo by Patrick Tomasso ; Arnel Hasanovic ; Volodymyr Hryshchenko 

#Marketing : 20 blogs à ajouter dans votre Feedly

#Marketing : 20 blogs à ajouter dans votre Feedly

C’est la rentrée ! On revient de vacances le sac plein de sable et surtout avec de nouvelles résolutions (comme le 1er janvier mais celles-ci on va tenter de les tenir.).

Il faut savoir que j’ai tendance à faire ma veille sur les mêmes sites et blogs. J’utilise pour cela Feedly, un curateur de contenu qui permet de condenser toutes vos sources d’information sur une seule et même plateforme. Pratique, encore faut-il le mettre à jour régulièrement ! Il fallait donc que je me penche sur la question.

En scrollant sur LinkedIn, je suis – pour une fois – tombée sur une publication intéressante de l’agence d’Insegmentune liste de 20 blogs marketing à suivre absolument. On retrouve des classiques comme celui de Neil Pateil ou d’Hubspot mais également d’autres moins connus.

Je vous partage à présent cette liste. Spoiler alert, il s’agit principalement de ressources en anglais.

 

La liste des blogs marketing à suivre pour la rentrée

1. Backlinko – pour le référencement
2. Neil Patel –pour le référencement / le marketing
3.  -pour le marketing
4. Smart Blogger – pour le blogging
5. Blogging Wizard – pour le blogging
6. Content Marketing Institute – pour le marketing de contenu
7. Jeff Goins – pour la rédaction
8. Copyblogger Media -pour la rédaction
9. Enchanting Marketing Limited -pour la rédaction
10. Search Engine Journal – pour de la veille sur l’industrie 
11. Social Media Examiner – pour le social media 
12. ShoutMeLoud – pour le blogging, des astuces WordPress, du marketing d’affialiation
13. MarketingProfs – pour le marketing
14. HubSpot Marketing Blog -pour le marketing
15. Moz -pour le référencement
16. Semrush -pour le référencement
17. Ahrefs -pour le référencement
18. Screaming Frog -pour le référencement
19. Social Media Today, LLC – pour le social media
20. inSegment -pour le marketing digital (et parce qu’ils ont créé cette liste quand même 😉

Bonne lecture ! 

Réussir le lancement de son podcast : notre guide

Réussir le lancement de son podcast : notre guide

Le saviez-vous ? Il existe aujourd’hui environ 1 00 000  de podcasts actifs et de nouveaux podcasts sont lancés chaque jour. Sommes-nous en train d’atteindre « l’ère du podcast » ? Peut-être.

Pas étonnant que les podcasts gagnent en popularité. Leur mise en place est relativement peu coûteuse et ils sont peu sophistiqués, ce qui vous évite d’avoir besoin d’une énorme équipe pour faire le gros du travail. Ils constituent également un moyen fantastique de diffuser votre message et de créer un contenu intéressant et utile pour votre public. Je suis moi-même en train de travailler sur le lancement d’un podcast pour mon activité de coaching (affaire à suivre…).

Des membres de notre communauté nous ont dit qu’ils/elles envisageaient eux aussi de lancer leur propre podcast. Je me suis donc dit que c’était l’occasion de partager avec vous tout ce que l’on connait sur le lancement réussi d’un podcast.

Mais d’abord, comprenons pourquoi le lancement de votre podcast est important.

Il y a deux raisons pour lesquelles planifier et promouvoir le lancement d’un podcast est une étape à ne pas négliger.

La première est simple : un lancement réussi peut vous permettre d’obtenir de meilleurs classements dès le départ. Les classements iTunes sont basés sur le nombre d’abonnements, de téléchargements, d’avis cinq étoiles recueillis dans le court laps de temps qui suit le lancement de votre podcast. Si vous montrez une forte augmentation du nombre d’abonnés, de téléchargements et d’avis enthousiates immédiatement après le lancement, vous pouvez obtenir un meilleur classement et avoir la possibilité d’entrer dans la catégorie « Nouveautés et tendances ».

La deuxième raison de planifier et de promouvoir le lancement de votre podcast est qu’il servira de tremplin pour créer une dynamique et continuer à développer votre base de fans et d’abonnés. Lorsque vous commencez à constater l’enthousiasme suscités par votre lancement initial, il est naturel de vouloir poursuivre sur cette lancée, non ?

Prêt à faire décoller votre podcast ? Attachez vos ceintures… c’est parti !

1) Fixez une date de lancement et donnez-vous un temps limité

Les agendas se remplissent très vite ! Il y a des projets à réaliser, des événements familiaux auxquels il faut assister, des réunions à planifier, des amis à voir et, bien sûr, votre série Netflix préférée à regarder. Si vous ne vous y mettez pas et ne fixez pas une date limite, ce podcast risque de rester sur votre liste to-do pendant des mois, voire des années !

Fixez une date de lancement pour votre podcast ferme et pas trop loin dans le temps. Inscrivez-la sur votre calendrier, encerclez-la deux fois ou, si vous êtes plutôt tech, ajoutez-y quelques points d’exclamation sur votre calendrier Google ou iCal.

Une fois que vous avez fixé cette date, vous pouvez travailler préparer un retroplanning pour planifier vos messages promotionnels. Si vous utilisez un système de planification par catégories, c’est facile à faire ! Il suffit de trouver dans votre planning les créneaux idéaux pour y ajouter cette nouvelle catégorie et commencer à promouvoir votre podcast.

Il ne vous reste plus qu’à élaborer ce contenu promotionnel.

2. Créez du contenu promotionnel sur les réseaux sociaux

Même si vous n’avez pas encore lancé votre podcast, cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas commencer à en faire la promotion et à générer du buzz sur les réseaux sociaux. N’oubliez pas qu’ils sont un accès à votre communauté et que votre objectif est de créer des liens et des conversations. Quel meilleur moyen de créer des liens que de partager ce sur quoi vous travaillez ?

Il existe différents types de messages que vous pouvez utiliser pour créer un peu d’attente autour de votre podcast sans que cela ne paraisse répétitif.

Les coulisses
Les gens aiment voir l’intérieur d’une entreprise ! Vous avez une installation de podcast sympa, un tout nouveau micro ou des notes prises lors de vos interviews ? Faites découvrir à votre public les coulisses de votre projet.

Les teasers
Vous n’avez peut-être pas encore un épisode complet prêt à être diffusé, mais vous en avez probablement enregistré quelques-uns qui sont en cours de montage. Vous avez peut-être simplement enregistré votre intro, votre musique ou même un aperçu de votre logo, comme l’a fait Sophie Plummer du podcast Chef(fe). En donnant un aperçu de ce qui est à venir, vous suscitez l’enthousiasme pour le produit fini.

Les questions
Quelle meilleure façon d’entamer une conversation sur votre podcast qu’avec une question ? Sans compter qu’elles peuvent également servir d’étude de marché. Voici quelques exemples de questions utiles :

  • « Nous lançons officiellement un podcast ! Qui aimeriez-vous entendre ? »
  • « Quelle est pour vous la durée idéale d’un épisode de podcast ? 30 minutes, 1 heure, plus ? »
  • « Je lance un podcast et je suis curieuse de connaître ceux que vous écoutez déjà ! Envoyez vos podcasts préférés ci-dessous ».

Mieux vaut avoir choisi le nom et le logo de votre podcast avant de commencer la promotion. Ainsi, vous pourrez faire connaître votre marque auprès de votre public avant même le lancement.

3. Exploitez votre liste d’e-mails

Vous l’avez vu venir ? Vous savez combien on aime une bonne liste d’e-mails chez Boots & Cats ! L’e-mail est un moyen fantastique et direct d’informer votre public de la mise en ligne de votre podcast. Vos abonnés doivent avoir l’impression de recevoir des informations privilégiées sur le lancement de votre podcast pour que faire le pas de partager leur adresse e-mail avec vous vaille la peine à leurs yeux.

Proposer des contenus et des promotions exclusivement à votre liste d’abonnés le jour du lancement est un excellent moyen de générer du buzz et de construire une audience. Par exemple, le jour J, vous pouvez communiquer sur votre lancement et offrir quelque chose du type « Répondez à cet email avec une capture d’écran montrant que vous vous êtes abonné∙e au podcast pour gagner un cadeau ! ».

4. Soumettez à Apple avant votre lancement et lancez-vous avec quelques épisodes d’avance.

Vous imaginez arriver le jour du lancement sans avoir un podcast à lancer ? Quel cauchemar !

Apple peut prendre jusqu’à 10 jours pour approuver votre podcast. Bien que la plupart des podcasts soient approuvés dans les trois jours, laissez-vous une marge de manœuvre.

Il est aussi conseillé de commencer avec plus d’un épisode. En lançant plus d’un épisode, vous offrez à votre public plus de contenu à consommer, à réfléchir et à discuter. Vous les avez ravis, alors ne les laissez pas tomber avec un seul épisode !

5. Jouez la carte du long terme

Enfin, si vous voulez un lancement aux petits oignons et un podcast solide quoi qu’il arrive, jouez la stratégie du long terme ! Comme beaucoup d’autres projets, le succès est rarement instantané. Il est nécessaire de créer constamment de la valeur et d’en tirer profit au fur et à mesure.

L’objectif d’un podcast peut être un à-côté fun et (rarement) lucratif, un emploi à temps plein ou un revenu supplémentaire pour votre entreprise, mais le secret du bonheur consiste à en apprécier la création, les connexion qu’il génère et la production du contenu, tout autant que les résultats finaux !

Comment créer des publications pour les réseaux sociaux qui vont donner envie de cliquer

Comment créer des publications pour les réseaux sociaux qui vont donner envie de cliquer

Vous avez déjà eu l’impression de crier dans le vide lorsque vous publiez quelque chose sur les réseaux sociaux ? Vous n’êtes pas le/la seul∙e. En fait, de nombreuses marques et autres entrepreneur∙es luttent pour que leurs messages suscitent un quelconque engagement. Beaucoup se demandent comment rédiger de bons messages sur les réseaux sociaux.

Selon une étude de Rival IQ, les marques obtiennent un taux d’engagement moyen de :

  • 0,8 % sur les publications Facebook
  • 0,98 % sur les publications Instagram
  • 0,045 % sur Twitter

Oui, cela signifie qu’en moyenne, la plupart des gens voient moins de 2 % d’engagement sur leurs publications sur les réseaux sociaux.

Pas une super nouvelle, hein ? Mais ATTENDEZ, avant de jeter votre ordinateur par la fenêtre de frustration, il y a une bonne nouvelle.

La bonne nouvelle, c’est que les réseaux sociaux changent et que les plateformes évoluent pour encourager les utilisateurs à se concentrer sur la création d’une communauté, la création de liens et le partage de contenus de qualité.

Alors que les entrepreneur∙es et les marques cherchent à s’adapter à l’évolution de l’écosystème digital et à se recentrer sur la création d’un véritable engagement, une chose est à noter : le contenu de qualité compte plus que jamais sur les réseaux sociaux.

Alors, qu’est-ce qui incite les gens à s’arrêter, à cliquer et à engager avec vos publications ? Comment pouvez-vous créer du contenu qui mérite une réaction, qu’il s’agisse d’un « like », d’un partage, d’un commentaire ou d’un clic sur un lien ?

Décortiquons les cinq facteurs qui font qu’une publication mérite d’être cliquée.

1. Les quatre clés du marketing de contenu

Les réseaux sociaux sont un vecteur pour le marketing de contenu et il y a quatre objectifs à garder à l’esprit pour votre contenu.

Il doit :

Éduquer :
Le contenu éducatif apprend quelque chose de nouveau à votre public. Il lui montre comment résoudre un problème.

Inspirer :
Les gens sont toujours à la recherche d’inspiration et les réseaux sociaux sont l’endroit idéal pour la leur donner avec une citation, une vidéo inspirante ou une histoire émouvante.

Informer :
Partager les dernières nouvelles, les derniers développements dans votre secteur d’activité ou les annonces concernant votre entreprise sont autant de moyens de créer du contenu informatif.

Divertir :
En fin de compte, les humains aiment le divertissement pur. Un contenu humoristique, créatif ou tout simplement amusant est fantastique pour engager votre public. Pensez aux GIFs, aux vidéos drôles ou aux mèmes !

Peu importe ce que vous publiez sur les réseaux sociaux, vos publications doivent apporter un de ces éléments à votre public. Si ce n’est pas le cas, vous devriez peut-être reconsidérer la raison pour laquelle publiez ce contenu !

2. Les connexions personnelles

Les humains veulent être en contact avec d’autres humains, quoi qu’il arrive. Le terme « authentique » est souvent utilisé dans les réseaux sociaux et, bien qu’il soit devenu un peu galvaudé, le besoin sous-jacent existe toujours. Les internautes ne peuvent pas vous faire confiance s’ils n’ont pas l’impression de vous connaître et de vous apprécier, et ceux qui ne vous font pas confiance ne s’intéresseront pas à votre contenu. Donc, même si vous partagez du contenu de marque, vous pouvez toujours partager un peu de votre personnalité ou de votre histoire dans vos publications.

3. Le storytelling

De nombreuses données scientifiques confirment le pouvoir de la narration. Les êtres humains sont câblés pour se souvenir des histoires et les réseaux sociaux sont un moyen idéal de les raconter. Les histoires ont des personnages, une intrigue, un sens et, surtout, un investissement émotionnel. En racontant votre histoire ou celle de votre entreprise, vous pouvez établir un lien émotionnel avec votre public.

4. Les titres

Le texte est important, surtout sur les réseaux sociaux où la plupart des gens font défiler des centaines d’options. L’être humain a une capacité d’attention d’environ 8 secondes. Cela signifie que notre capacité d’attention est plus courte que celle d’un poisson rouge.

Que vous choisissiez d’écrire un article plus long ou une publication plus personnelle, le texte de votre contenu est important, surtout la première phrase. Il existe quelques règles éprouvées en matière de titres qui fonctionnent particulièrement sur les réseaux sociaux.

Curiosité
Les êtres humains sont des créatures curieuses et susciter l’intérêt par la curiosité fonctionne. La clé pour piquer la curiosité de votre public est de lui donner un autre angle de vue. Attention, cependant, si votre message est trop vague, il ne suscitera pas autant de curiosité.

Négativité
Les titres comportant des superlatifs négatifs (jamais, pire, stop) obtiennent 59 % de clics en plus que les titres positifs, selon une étude menée par Outbrain sur 65 000 titres de liens payants.

How to / Comment
L’article « How to / Comment » est généralement un article éducatif. Selon CopyBlogger, ces titres attirent les lecteurs car la plupart d’entre nous a envie d’améliorer sa vie. Pour écrire correctement un titre « How to / Comment« , vous devez vous concentrer sur le besoin du lecteur et promettre de répondre à ce besoin.

Questions
Poser une question peut automatiquement impliquer un utilisateur. La clé d’un bon titre-question est que votre lecteur réponde « oui » ou « peut-être ». Si la question suscite une réponse négative de la part du lecteur, il ne cliquera et n’engagera pas !

Chiffres
Les chiffres créent une attente pour le lecteur. Il sait exactement dans quoi il s’engage avec un titre qui contient un chiffre. Les gens ont tendance à être attirés par la certitude, alors leur dire dès le départ ce à quoi ils s’attendent peut augmenter l’engagement.

5. Les images

Le sachais-tu ? Lorsque les gens entendent une information, ils sont susceptibles de se souvenir de 10 % de cette information trois jours plus tard, mais lorsque cette information est associée à une image pertinente, les gens se souviennent de 65 % de l’information trois jours plus tard.

Les éléments visuels sont très importants sur les réseaux sociaux et peuvent contribuer à la création d’un message qui stoppe le défilement des contenus. Cependant, n’importe quelle image ne suffit pas. Pour faire passer votre message, il est important que le visuel soit pertinent par rapport à l’information et qu’il soutienne le texte.

Comment rendre les publications plus cliquables sur les réseaux sociaux ?

Maintenant que vous connaissez les différentes composantes d’une publication qui donne envie de cliquer, il est temps de tester vos messages afin d’apprendre quelles méthodes fonctionnent le mieux pour votre public.

Pour ce faire, vous devez partager votre contenu en utilisant des variantes.

En créant différentes variations de votre contenu, vous pouvez tester ces différentes tactiques pour maximiser les chances de votre message d’être cliqué !

Les fils d’actualité des réseaux sociaux défilent rapidement et si vous voulez donner à vos publications une chance d’être cliquées, il est logique de les partager plus d’une fois ou deux. En créant des variantes d’un même message, vous pouvez le faire passer sans qu’il paraisse répétitif. De plus, cela vous donne l’occasion de tester les différentes façons de créer un message qui soit vraiment cliquable.

Si vous avez du mal à susciter de l’engagement avec vos publications ou si vous vous demandez ce que vous pouvez faire pour en obtenir encore plus, faites un audit de vos posts et testez les différentes tactiques proposées dans cet article. Vous nous en direz des nouvelles !